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Patch de la peau de diabète pourrait abolir les tests de piqûre au doigt

Les tests de piqûre au doigt pour la surveillance de la glycémie pourraient bientôt être chose du passé, grâce aux scientifiques qui ont mis au point un patch cutané adhésif qui mesure les niveaux de glucose toutes les 10-15 minutes.

patch de peau de diabète

Créé par des chercheurs de l’Université de Bath au Royaume-Uni, le patch roman s’est avéré être une stratégie non invasive réalisable pour la surveillance de la glycémie dans les tests de la peau porcine et humaine.

Le co-auteur de l’étude, le professeur Richard Guy, du département de pharmacie et de pharmacologie, et ses collègues ont récemment rapporté leurs résultats dans la revue.

On estime qu’environ 30,3 millions de personnes aux États-Unis vivent avec le diabète et environ 1,5 million de nouveaux cas diagnostiqués chaque année.

Le diabète de type 2 est la forme la plus courante de diabète, comptant pour 90 à 95% de tous les cas; Il survient lorsque le corps n’est plus capable d’utiliser efficacement l’insuline ou qu’il ne produit pas suffisamment d’hormone, ce qui fait que les niveaux de glucose dans le sang deviennent trop élevés.

Le fardeau du test de piqûre au doigt

Pour gérer efficacement la maladie, les personnes atteintes de diabète doivent surveiller régulièrement leur glycémie. Cela implique l’utilisation d’un lecteur de glycémie, qui teste une goutte de sang libérée par une piqûre d’aiguille du doigt.

La fréquence des tests de glycémie dépend du type de diabète et du type de médicament utilisé, mais les tests quotidiens – pouvant aller jusqu’à 10 fois par jour pour les personnes atteintes de diabète de type 1 – sont fréquents.

Cette forme de test peut être un fardeau pour les personnes atteintes de diabète; La recherche a montré que la peur de la douleur et des aiguilles, le coût des bandelettes de test sanguin et les inconvénients du processus d’autosurveillance sont des obstacles à un bon contrôle de la glycémie.

En tant que tels, les chercheurs se sont efforcés de trouver une méthode non invasive pour la surveillance de la glycémie.

« La réalisation la plus proche a nécessité au moins un calibrage en un seul point avec un » finger-stick « classique ou l’implantation d’un capteur pré-étalonné par une seule insertion d’aiguille », note le professeur Guy.

Le nouveau patch de peau créé par le professeur Guy et ses collègues, cependant, a le potentiel de changer le visage de la surveillance du glucose.

Le correctif suit avec précision les niveaux de glucose

Le timbre transdermique consiste en des capteurs miniatures qui utilisent des courants électriques pour «extraire» le glucose du liquide sécrété par les cellules des follicules pileux.

Le patch recueille le glucose dans de petits « réservoirs » et mesure les niveaux toutes les 10-15 minutes. L’espoir est que ce patch sera capable d’envoyer des lectures de glucose au smartphone ou smartwatch d’un utilisateur et de leur faire savoir quand ils ont besoin de médicaments.

Fait important, le patch ne transperce pas la peau. Qui plus est, sa capacité à mesurer le glucose à partir d’une si petite zone sur les follicules pileux le rend très précis, il n’est donc pas nécessaire de confirmer les lectures par prélèvement sanguin.

Le professeur Guy et ses collègues ont confirmé la précision du patch en le testant sur la peau de porc. Ils ont constaté qu’il était capable de suivre les niveaux de glucose à des distances observées chez les humains atteints de diabète, et avec une grande précision.

Des tests supplémentaires sur des sujets humains en bonne santé ont montré que le patch était capable de suivre avec précision les niveaux de glucose sur une période de 6 heures.

Pour l’avenir, l’équipe espère prolonger la période de surveillance de la glycémie à 24 heures, tout en augmentant le nombre de capteurs qu’elle détient pour accroître la précision.

Avec de telles modifications, les chercheurs croient que leur timbre cutané pourrait fournir une technique de surveillance du glucose non invasive dont ont grandement besoin les personnes atteintes de diabète.

« Une méthode non invasive – c’est-à-dire sans aiguille – pour surveiller la glycémie s’est avérée un objectif difficile à atteindre », note le professeur Guy.

« Le moniteur développé à Bath promet une approche sans calibrage, une contribution essentielle dans la lutte contre l’incidence mondiale croissante du diabète. »

Prof. Richard Guy

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